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Articles - Avenir de l'Ecole, débat national, CHESSY Rhône
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Débat National sur l’avenir de l’Ecole. Chessy le 9 décembre 2003 Circonscription de TARARE. Canton du BOIS d’OINGT. Département : RHONE
Animateur : Claude BARRATIER. Code IEN circonscription :ce.0693441r@ac-lyon.fr

Ouverture de la séance par monsieur BESSON représentant de l’Inspectrice de Circonscription organisatrice. Monsieur BESSON présente les enjeux de ce travail national en soulignant qu’il s’agit d’un débat pour agir, mené en toute transparence. Il annonce les trois sujets retenus au niveau de la circonscription.

126 personnes, en majorité des enseignant(e)s répartis en 10 commissions avec un animateur ont travaillé sur les sujets choisis au plan de la circonscription : sujets n°2, 12, 21. Animateurs de groupes : Robert ANCIAN, Mireille BRAIZAZ, Guy BROUSSET, Simone CHUZEL, Roger MONTEL, Catherine MOREAU, Françoise OUDOT, Valérie PINCELOUP, Jean SIMONET, Jean Paul WAZ. Facilitateur technique(micros, etc),Jean Pierre OLIVE.
Secrétaire de mise en commun sur grandes feuilles : André DENOYELLE.

Chaque animateur de commission a rapporté les travaux de son groupe, puis le débat a été général, et complété par la lecture des messages écrits sur papiers prévus et qui étaient ramassés tout au long du débat et classés. Les avis, constats, propositions de la demi-journée sont classés ci dessous par sujet.

La lecture des messages transmis pendant le débat s’est faite juste avant les conclusions. Ces messages figurent au compte rendu avec (M).

Le Conseiller général Charles BRECHARD a travaillé un moment avec un groupe, le Maire de CHESSY, Pierre VERSAUD n’a pu que nous consacrer le temps de l’ouverture des débats. Il était représenté par Jean Pierre OLIVE, Conseiller municipal, pendant toute la durée des débats.

SUJET 2 Instruire, Eduquer

La 1ère mission de l’école est l’enseignement !
La 1ère mission de l’école est de faire réussir les élèves !


Quelle priorité donner à Instruction ou Education ? Trois avis

1).L’instruction se fait à l’école.
2).L’instruction et l’éducation répartie à moitié à l’école, l’autre moitié à la maison
3).Les deux sont intiment liés

La majorité confirme qu’il n’y a pas de séparation entre l’instruction et l’éducation à l’école. L’Ecole n’a pas un objectif de rentabilité, mais de formation de la personnalité.

Proposition commune: l’instruction et l’éducation doivent se faire à l’école et à la maison. Mais les parents se déchargent trop sur l’Ecole. Le fait qu’il n’y ait plus de devoirs à la maison éloigne les parents de leur participation nécessaire à l’instruction de leurs enfants.

Il n’y a pas un âge très précis pour savoir lire, le CP n’est pas le moment pour tous. L’élève est dans un cycle de formation, il peut continuer à apprendre au CE, lorsqu’il en aura l’appétit, dans la période sensible qui lui est propre.

Les programmes sont un carcan
, il n’y a plus assez de temps pour instruire et éduquer. Il faudrait mieux définir ce qui doit être enseigné, l’indispensable, au lieu de s’éparpiller. L’école n’est pas un entonnoir pour faire apprendre. A chaque instant, que puis je faire avec chaque élève est la vraie question de métier que je me pose. L’école est au service des enfants. A la maternelle, un épanouissement personnel est réalisé, puis dans le primaire, c’est trop le carcan.

Ne pas attendre des enfants qu’ils soient adultes trop tôt
. Respecter le rythme de leur développement est indispensable.

La maîtrise de la langue française est un préalable pour tout apprentissage futur, pour acquérir des savoirs pour suivre au collège après par orientation.

Le collège « unique»est une erreur, (1 avis), les itinéraires après CM2 ne peuvent être standardisés pour tous.

(M) L’enfant ne devrait pas courir après le programme, mais l’école devrait se mettre à son rythme au lieu de l’orienter vers des voies de garage.

(M) Des élèves doivent quitter le cycle 3 sans avoir tous les acquis nécessaires pour entrer en 6ème. Ne pourrait-on pas créer des classes passerelles CM2-6ème pour eux ?

(M) Pour des enfants en difficulté scolaire sans avoir un handicap, ne pourrait-il pas y avoir des auxiliaires de vie
?

La vie active pourra passer par l’apprentissage pour les élèves en échec scolaire. Les maisons rurales réussissent assez bien par l’alternance.

Il faut promouvoir une continuité Ecole Collège. Il est nécessaire que les élèves et les enseignants de l’Ecole aient des échanges avec le Collège. Et donc que les frais de déplacements correspondants soient financés.

Dans les missions de l’école, l’instruction, l’éducation englobent le comportement, la personnalité des élèves, le développement du sens critique (capacité de discernement) des élèves.

Education à la citoyenneté :
vivre ensemble (laïcité), s’intégrer dans la société. Et déjà respecter le règlement intérieur et profiter de l’Ecole pour apprendre à vivre en collectivité. Les apprentissages sociaux s’effectuent à l’Ecole, rarement dans la famille.

Dans la laïcité, il y a l’apprentissage d’une morale civique.


Les enfants doivent participer à la mise en place des cadres de leur vie collective.

Il faut leur apprendre à ne pas être passifs, à s’intégrer activement au groupe tout en développant leur esprit critique.



Ecole et société


A quelle vie active préparer les élèves ?

Actuellement, trou vers la vie active, il faut préparer à la vie active future et non celle connue actuellement. Il faut donc développer l’autonomie des enfants pour favoriser leur adaptation future, leur réceptivité à ce qui se passe dans leur environnement.

Ils préparent les clés de l’avenir, l’enfant est un investissement
pour la société future.

(M) Nécessité, pour que l’enfant se prépare à son rôle de citoyen, de remettre le programme d’instruction civique comme celui ci était donné il y a bien longtemps.

(M) L’Ecole a-t-elle le rôle d’intégrer dans une société qui n’est pas un modèle ?


(M) Fracture entre les valeurs de l’Ecole de la République et les valeurs de la société (individualisme, capitalisation, consommation)


(M) L’Ecole laïque est l’école de tous. Elle a besoin de gros moyens pour ne pas se faire engloutir dans le système de la société libérale qui veut promouvoir des écoles à plusieurs vitesses.

(M) L’Education devrait rester Nationale et ne pas laisser percer une éducation marchande.

(M) Il faut revaloriser le travail dans une société qui privilégie le plaisir et le plaisir.

Europe :
Il serait souhaite d’avoir la connaissance et(ou) de partager les programmes à l’intérieur de l’Europe, et même de les harmoniser.

L’école doit contribuer à comprendre l’Europe


Apprendre aux enfants à voir ailleurs, à comprendre la variété des cultures.

La France est le seul pays vraiment laïque. Comment sauvegarder ses valeurs dans l’Europe ?


(M)L’Education nationale n’est pas nationale, donc moins crédible. L’Alsace, la Lorraine sont toujours sous les lois de l’occupant BISMARCK. La religion y est enseignée à l’Ecole certainement plus que la laïcité. Par ailleurs, des crédits publics servent à des écoles confessionnelles, et le manque de crédits publics conduit à la recherche de crédits privés.

(M) Pourquoi ne pas proposer plus d’échanges de postes avec l’étranger pour favoriser une vraie cohésion entre pays européens ?

(M) Définir une langue commune pour les pays de la communauté européenne et la rendre obligatoire pour tous les élèves. Réformer la langue française pour la simplifier et la rendre plus accessible aujourd’hui à tous.


Egalité des chances:


Prévoir l’intégration des enfants ayant un handicap ce qui n’est pas le cas à ce jour.


La maternelle doit être renforcée, accueil d’enfants plus jeunes. D’autres pensent que les très jeunes sont mieux avec leurs parents.

La classe maternelle est la plus importante, mais la plus mal lotie, en particulier pour bénéficier d’aide de psychologues.


(M) L’Ecole maternelle serait mieux indépendante qu’intégrée dans une école primaire qui a d’autres contraintes liées aux programmes.

Question (M) Il faut évaluer l’efficacité de la scolarisation à l’âge de 2 ans.

(M) La vie en grosse collectivité n’est pas bénéfique pour un enfant de 2 ans. Son développement psychologique ne lui permet pas de vivre à 30 par classe.

(M) Nous savons que c’est de 0 à 6 ans que tout se joue pour l’enfant. On devrait mettre tous les moyens en place, - classes à petits effectifs, psychomotriciens, et autres spécialistes.


SUJET n° 12 Parents et enseignants :

Faire une famille éducative = Parents + Enseignants. Développer la communication dans cette famille.

Développer le climat de confiance entre les Parents et les Enseignants (meilleure communication).

Valoriser l’école auprès des enfants (le dénigrement nuit d’abord à l’élève), s’intéresser dans la famille à ce qu’il y fait.

Donner plus de crédibilité aux programmes (les programmes changent trop souvent)

L’éducatif prend de plus en plus de temps. L’apprentissage social se fait à l’école. Faire l’école des parents pour que l’apprentissage s’effectue en partenariat avec l’Ecole serait nécessaire.

Mettre en place des médiateurs Parents-Enseignants pour régler les litiges entre eux.

Donner aux enfants le goût d’aller chercher la connaissance (à la maison mais aussi à l’école).

Aiguiser leur curiosité vers l’extérieur.

Faire émerger le projet de chaque enfant. Les enfants doivent avoir un rythme de formation personnalisé. Les parents doivent le respecter.

Les parents doivent participer à la phase de réalisation des devoirs par les élèves.

Le temps des parents disponible pour les enfants est trop faible !

Affirmer des objectifs :
Les jeunes savent moins qu’autrefois pourquoi ils vont à l’Ecole. Les objectifs ne sont pas clairs.

L’école ne peut plus garantir la réussite dans le travail, ce qui affaiblit son image. Il faut définir les objectifs pour chaque enfant en partenariat avec sa famille.

(M) Faire réussir les élèves, ..réussite scolaire ou réussite sociale ?
L’Ecole peut elle encore être un ascenseur social si elle ne s’adapte pas au monde qui l’entoure ?

La télévision, les médias, les médiatisations liées aux Ministres qui passent

Ti-Teuf, etc… sont nocifs.

Les médias dans leur ensemble véhiculent une fausse image de ce qu’est l ‘Ecole.


Les médias abondent sur l’illettrisme. Comment est-il mesuré ? Est-ce fiable ? On a des doutes.

Les médias, qui contribuent à l’éducation des enfants agissent souvent à contre sens.


(M) : Dans un monde gouverné aujourd’hui par l’Economie, la Consommation, comment revaloriser le métier d’enseignant ? On pourrait utiliser les médias pour redonner du prestige à ce métier. On parle beaucoup des ingénieurs, des cadres……pas de la grille de salaire dérisoire pour des personnels enseignants qui ont mené des études à bac+5. De cette médiatisation là viendrait peut-être l’implication des parents. Un livre a été écrit pour les enseignants, pourquoi pas un pour les parents ? Quand, pour passer dans les médias, les ministres cesseront-ils d’ écrire ou de promettre des réformes, des changements incessants de programme ?

Il faudrait développer la communication pour mieux faire comprendre aux parents le métier d’enseignant.

Associations :

Elles doivent être un lieu d’écoute et d’échange et un lieu pour le soutien scolaire aux familles défavorisées.

Les parents peuvent avoir besoin de cette aide pour les aider dans les difficultés qu’ils rencontrent lors d’échecs scolaires de leur enfant.

Contrat éducatifs locaux (CEL) :Ils contribuent au budget de l’école. Les moyens doivent être accrus. Inégalités d’une commune à l’autre, le budget des petites communes est insuffisant.

C’est un lieu privilégié d’échange avec des intervenants extérieurs.

Périscolaire :

Favoriser les contacts avec l’environnement artisanal, paysager…etc

SUJET 21 :
Spécificité du métier.

Il faut aimer les enfants.

Trop de charges de travail hors présence élèves ; dossiers très lourds. Accorder des décharges de services.

Il existe des différences entre maternelle et primaire. Les enseignants correspondants doivent être formés en conséquence. En tout cas il faut spécialiser l’enseignant de la maternelle.

(M) : Faut-il une formation identique pour les enseignants de la maternelle et du primaire ? Les objectifs sont totalement différents.

Le métier demande beaucoup de formation, et des mises à jour.
Le temps de formation des enseignants est insuffisant.

Et inadapté aux problèmes rencontrés (cf. dyslexie). La formation en IUFM est plus adaptée à ce qu’on rencontre en ville qu’à la campagne.

Pour les enseignants, il faut une ouverture sur la vie des entreprises. Ils vivent trop en vase clos.

Les classes à plusieurs niveaux favorisent le rattrapage Former les enseignants pour des classes hétérogènes, les IUFM ne préparent pas à la classe multi niveaux qui est bien la classe de base.

Sensibilisation aux langues étrangères. Il faut plutôt aller vers l’enseignement de 2 langues, et perfectionner les enseignants qui les prennent en charge.

Former les enseignants à l’informatique et mettre en place les moyens de maintenance et d’exploitation des matériels informatiques.

Les enseignants devraient pouvoir se déplacer pour assister à des cours dans des classes du collège, pour comprendre ce que trouveront leurs élèves au collège.


Donner de la formation en psychologie aux enseignants, le moyen de diagnostiquer les anomalies (ex : dyslexie)

Apprendre à interpréter une fatigue anormale de l’élève, un changement d’humeur. Avoir des pistes. Une formation continue régulière est nécessaire.

Pour les relations « publiques », directeurs et autres enseignants ont besoin de formations au « relationnel ».

(M) pour les enseignants, il faut créer un temps d’analyse de la pratique avec un psychologue extérieur.

Etablir une passerelle entre les enseignants et l’extérieur (ex : entreprises) pour qu’ils soient en phase avec les évolutions de la société.

SOS enseignants :


(M) Créer des lieux d’écoute neutre pour les enseignants en difficulté à l’Ecole.

(M) Un enseignant qui pendant 30 ans est avec la même catégorie d’âge d’élèves est-il, même en changeant d’Ecole, toujours aussi motivé ? Ses compétences pourraient-elles être utilisées dans d’autres fonctions ?

Inspecteurs, Hiérarchie, reconnaissance du métier d’enseignant :

Les inspecteurs infantilisent les enseignants par la notation. Ils devraient valoriser les enseignants, être également des conseillers pédagogiques, on devrait les voir souvent. Ils devraient pouvoir travailler en équipe avec des enseignants sur le terrain. Ils devraient donc également conserver un pied dans le métier comme les directeurs d’écoles pour réellement connaître la réalité de la classe.

(M) Au Canada les inspections sont des temps de formation, c’est rarement le cas en France : ..le problème de la Note !
Il faut revaloriser l’enseignant déjà en lui donnant d’abord les modifications de programmes, ce qui lui permettrait, entre autres de communiquer mieux avec les parents, d’argumenter sur des points du programme. Car ceux– ci contestent parfois ce que leur dit l’enseignant car les programmes changent tout le temps.

Pour améliorer le fonctionnement de l’Ecole, la hiérarchie (IEN, IA, Ministère) doivent être à l’écoute du terrain (les enseignants)

Directeurs[/b]
Le directeur doit faire, en plus du travail administratif, du relationnel avec les parents et du soutien aux enseignants. Il devrait disposer d’un statut équivalent à celui de cadre avec une rémunération en conséquence.


Personne n’a constaté que la paperasse demandée chaque année par le ministère et l’inspection serve à quelque chose.
[b]
Il faudrait connaître les résultats de ce qui remonte des Ecoles et à quoi cela sert.


Devant le manque de vocations pour les postes de direction, devenus sans aucune attractivité, l’Administration envisage de créer des emplois de direction sur un territoire comprenant plusieurs écoles. Pour les interlocuteurs parents comme pour les enseignants ce type d’emploi serait peu fonctionnel, le directeur ne connaîtrait pas assez bien ce qui se passe dans des Ecoles où il ne travaillerait pas. Un directeur doit continuer à enseigner pour rester « à jour ».

Le rôle du directeur doit être éclairci auprès des parents et partenaires. Il n’y a pas de hiérarchie dans l’Ecole.

Métiers de l’Education :
ATSEM :
Elément favorisant, il devrait en avoir un par classe maternelle. Leur formation est nécessaire et doit être également indemnisée (temps + frais). Les maîtres ont besoin des ATSEM dans la journée pour de multiples tâches qu’ils ne peuvent pas assurer seuls.
AIDE-EDUCATEUR :
Les récentes suppressions d’emplois créent des manques dans ce domaine. Rétablir ou de remplacer ces postes qui viennent d’être supprimés.
L’équipe éducative est en perdition ! La BCD en danger. Et l’accès régulier à l’ordinateur pour les élèves qui n’en ont pas à la maison.
Le RASED (réseau d’aide) est pratiquement absent des écoles reculées des grands centres, à la campagne. C’est un manque.
La médecine du travail n’existe pas !
Nécessité de disposer de psychologues, médecins, assistante sociale pour venir en support aux problèmes de chaque enfant.

INCURSION sur le SUJET 18
( dans les consignes on pouvait aussi s’exprimer sur d’autres sujets)
Ne plus avoir de discours dissonants entre le ministère et la réalité

DIVERS :
(M) : 20 élèves par classe au maximum, un professeur supplémentaire pour 5 classes, un RAZED pour 800 élèves.
Observations de fin de séance :
• On n’a pas eu assez de temps pour un débat approfondi en 45 minutes (travail de groupe)
• Les trois sujets choisis auraient dû être communiqués à l’avance
• On regrette qu’il n’y ait pas eu débat commun Ecole – Collège, avec des personnels du Collège.
PRIORITES AFFIRMEES PAR LES PARTICIPANTS DU CANTON DU BOIS d’OINGT :

La première priorité concerne l’équipe éducative incluant les parents, prenant en compte les difficultés éventuelles et individuelles aux plans social, affectif, de santé. L’Ecole des Parents à créer ferait se rencontrer aussi infirmière, psychologue, psychomotricien, éducateurs, enseignants, cela dès l’Ecole maternelle où c’est encore plus important.
• La seconde priorité concerne l’évolution du rôle de l’inspection, devenue accompagnement régulier et une formation continue régulière des enseignants.
La troisième concerne à la fois la prise en considération de fonctions administratives et de direction, et des besoins en personnels spécialisés travaillant en équipe avec l’Ecole.
Note: Aucune note
Ecrit par: tavardon, Le: 23/12/09